Glossaire

A

  • Agence de coopération des régulateurs de l’énergie
  • Assemblée pour le Climat et la Transition Energétique
  • La capacité d’adaptation est le degré d’ajustement d’un système à des changements climatiques (y compris la variabilité climatique et les extrêmes) afin d’atténuer les dommages potentiels, de tirer parti des opportunités ou de faire face aux conséquences. Les possibilités d’adaptation sont nombreuses à l’heure actuelle, mais pour réduire la vulnérabilité au changement climatique futur il est impératif d’en élargir les approches possibles : adaptation, adaptation autonome ou spontanée, adaptation incrémentale, adaptation transformationnelle
  • Agence de la Transition Ecologique
  • Agence européenne pour l’environnement
  • Statistiques agricoles
  • Agence Locale de l’Énergie et du Climat
  • Agence nationale de l'habitat
  • Agence Régionale de la Biodiversité

B

  • Bâtiment basse consommation
  • Bilan d’émission de Gaz et Effet de Serre
  • Bâtiment à Énergie Positive
  • Carburants produits à partir de biomasse venant en complément ou en substitution des carburants fossiles. Certains, dits conventionnels, sont produits à partir de ressources agricoles et d'autres, dits avancés, sont produits à partir de matières premières sans entrer en concurrence avec l'usage alimentaire.
  • Gaz produit lors de la digestion anaérobie (en l’absence d’oxygène) de matières organiques, animales ou végétales. Le biogaz est chimiquement équivalent au gaz naturel. Il se distingue par son mode de formation et est en fait une énergie renouvelable (on ne prélève pas une énergie fossile). Les trois principaux modes de production du biogaz sont : - la méthanisation ; - la pyrogazéification ; - le power-to-gas.
  • Ensemble des matières organiques d’origine végétale ou animale pouvant se transformer en énergie. Il existe trois formes de biomasse : solide (paille, copeaux, bûches…), liquide (huiles végétales, bio-alcools…), gazeuse (biogaz).
  • Biogaz ayant subi un traitement d’épuration et d’odorisation en vue de son injection dans un réseau de gaz naturel. Dans le réseau de gaz H (à haut pouvoir calorifique), il contient 97% de CH4 et dans le réseau de gaz B, il contient 90% de CH4.
  • Le bois énergie désigne l’utilisation du bois et de ses dérivés comme source d’énergie. Il est possible de produire de l’électricité via la combustion de la biomasse, comme dans une centrale thermique classique. Cependant, la grande majorité de la ressource bois énergie est actuellement utilisée en tant que chauffage au bois domestique, essentiellement sous forme de bûches. Il s’agit d’une source d’énergie considérée comme renouvelable, dans la mesure où la forêt est gérée de façon durable.
  • Bureau de recherches géologiques et minières

C

  • Convention citoyenne pour le climat
  • Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques
  • Caisse des Dépôts et de Consignations
  • Certificat d’Économie d’Énergie
  • Conseil en Énergie Partagée
  • Cellule économique régionale de la Construction Centre-Val de Loire
  • Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement
  • Centre national de la propriété forestière
  • Dioxyde de carbone aussi appelé « gaz carbonique ». C’est un gaz à effet de serre.
  • Génération d’énergie thermique et électrique.
  • Conférence des parties (Conference of the Parties)
  • Un des six services d’information du programme d’observation de la Terre Copernicus de l’Union Européenne.
  • Contrat de Performance Énergétique
  • Centre de ressources pour l'adaptation au changement climatique

D

  • Direction Départementale de la Protection des Populations
  • Direction départementale des territoires
  • Résidu solide ou liquide issu du processus de méthanisation. Celui issu des unités de méthanisation agricole servira d’engrais naturels et sera épandu dans les cultures en remplacement d’un engrais chimique.
  • Direction Régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt
  • Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement
  • DRIAS 2020 est un jeu de données regroupant 30 simulations climatiques issues de 12 modèles climatiques.

E

  • Espace Info Énergie
  • Énergie produite en convertissant le vent en énergie électriques. En général, une éolienne commence à produire à 15 km/h de vent et tourne à plein régime vers 40-50 km/h de vent.
  • Énergie produite en convertissant la lumière du soleil en électricité grâce aux cellules photovoltaïques. La production ne peut se faire qu’en journée, ce qui pose des problèmes pour répondre au pic de consommation d’énergie, particulièrement en fin de journée aux alentours de 20 h.
  • Énergie diffusée par le rayonnement solaire. L’expression « énergie solaire » désigne plusieurs voies d’exploitation de l’énergie solaire : - le solaire photovoltaïque qui transforme le rayonnement solaire en électricité ; - le solaire thermique qui transforme le rayonnement solaire en chaleur ; - le solaire thermodynamique, une variante du solaire thermique. L’énergie thermique est ensuite transformée en électricité. L’électricité produite peut être consommée sur place ou réinjectée dans le réseau de distribution électrique et la chaleur peut être utilisée pour le chauffage domestique ou la production d’eau chaude sanitaire.
  • Énergies dérivées de processus naturels en perpétuel renouvellement, notamment celles d’origine solaire, éolienne, hydraulique, géothermique ou végétale (bois, biocarburants, etc.). On distingue ainsi parmi les sources d’énergies renouvelables, le soleil (photovoltaïque ou thermique), le vent (éolienne), l’eau des rivières et des océans (hydraulique, marémotrice, etc.), la biomasse, qu’elle soit solide (bois et déchets d’origine biologique), liquide (biocarburants) ou gazeuse (biogaz) ainsi que la chaleur de la terre (géothermie) et celle extraite par des pompes à chaleur.
  • Etablissements publics de coopération intercommunale

G

  • Dispositif qui permet d’identifier et de tracer de façon fiable et rigoureuse les quantités de gaz vert injectées dans les réseaux. Le registre des garanties d’origine est l’outil qui permet d’enregistrer et valider les quantités de biométhane produites, injectées et vendues, et mémorise les sites et les acteurs qui sont intervenus.
  • La gazéification est un processus à la frontière entre la pyrolyse et la combustion. Celui-ci permet de convertir des matières carbonées ou organiques en un gaz de synthèse combustible, composé majoritairement de monoxyde de carbone (CO) et de dihydrogène (H2).
  • Ce terme recouvre diverses technologies radicalement différentes, mais qui exploitent toutes la chaleur de la croûte terrestre. La géothermie est une énergie renouvelable performante capable de produire à la fois de l’électricité, de la chaleur, du froid et du frais. La géothermie de « basse énergie » exploite des aquifères d’une profondeur de plusieurs centaines de mètres à des fins de production de chaleur (chauffage et eau chaude sanitaire), avec un rendement fixé par convention à 50 %. A contrario, la géothermie dite « profonde » (ou « haute température ») est utilisée pour produire de l’électricité (avec un rendement fixé conventionnellement à 10 %), exploitant pour cela des aquifères ou des gisements rocheux situés entre 1 500 et 5 000 mètres de profondeur, atteignant une température supérieure à 150 °C.
  • Gaz à effet de serre. Constituants gazeux de l’atmosphère, naturels ou artificiels, qui absorbent et réémettent le rayonnement infrarouge terrestre. Ils contribuent à maintenir la chaleur dans l’atmosphère terrestre. Les principaux gaz à effet de serre sont : la vapeur d’eau (H2O) ; le dioxyde de carbone (CO2) ; le méthane (CH4) ; le protoxyde d’azote (N2O) ; l’ozone (O3) ; les gaz fluorés (HFC, PFC, SF6), etc. La vapeur d’eau et l’ozone ne sont pas couverts par le protocole de Kyoto car leur cycle de vie est trop court. On comptabilise généralement les GES en pouvoir de réchauffement global exprimé en CO2eq (équivalent CO2).
  • Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat

H

  • Haut Conseil pour le Climat

I

  • Les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) peuvent avoir des impacts (pollution de l'eau, de l'air, des sols, …) et présenter des dangers (incendie, explosion, …) sur l'environnement. Pour ces raisons, elles sont soumises à des réglementations spécifiques.

L

  • Association de surveillance de la qualité de l'air en région Centre-Val de Loire
  • loi de programmation quinquennale sur l’énergie et le climat
  • Loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte

M

  • La méthanation est un procédé industriel consistant à faire réagir du dioxyde de carbone ou du monoxyde de carbone avec de l’hydrogène afin de produire du méthane de synthèse (qui peut lui aussi être ensuite transformé en chaleur, électricité ou carburant) et de l’eau.
  • Un modèle climatique est une simulation de divers processus qui influencent le climat, notamment les températures océaniques, les nuages, les précipitations et la croissance de la végétation. Pour le climat futur, des scénarios d’évolution des GES sont intégrés.

O

  • Observatoire des Systèmes Alimentaires Territorialisés
  • Organisation météorologique mondiale
  • Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique
  • Office national des forêts
  • Organisation non gouvernementale
  • Observatoire National de la Précarité Énergétique
  • Observatoire de la Performance Énergétique de la Rénovation et des Actions du Tertiaire
  • Observatoire Régional sur l'Agriculture et le Changement cLimatiquE
  • Observatoire régional de la biodiversité Centre-Val de Loire
  • Observatoire Régional de l’Énergie et des Gaz à Effet de Serre
  • Emploi, formation et orientation professionnelle.
  • Observatoire Régional des Transports

P

  • Programme d'Action pour l'Environnement
  • Projets Alimentaires Territoriaux
  • Plan Climat Energie Territorial
  • Pôle d’Équilibre Territorial et Rural
  • Plan National d’Adaptation au Changement Climatique
  • plans nationaux intégrés en matière d’énergie et de climat
  • Parc Naturel Régional
  • Programme des Nations unies pour l’environnement
  • Systèmes thermodynamiques permettant de prélever de la chaleur d’un milieu donné à bas niveau de température pour la transférer vers un autre milieu à un niveau de température plus élevé, moyennant une consommation d’énergie (le plus souvent sous forme électrique). Elles sont utilisées à des fins de chauffage, de production d’eau chaude ou de rafraîchissement. Il existe deux types de pompes à chaleur : - les pompes à chaleur aérothermiques qui utilisent l’air comme source de chaleur (PAC air-air pour le chauffage et PAC air-eau pour le chauffage ou l’eau chaude sanitaire) ; - les pompes à chaleur géothermiques qui captent l’énergie du sol ou de l’eau.
  • Le portail DRIAS de Météo-France met à disposition du public des données des projections climatiques du climat futur.
  • Procédé de production d’hydrogène renouvelable par électrolyse de l’eau à partir d’électricité renouvelable. L’hydrogène est ensuite valorisé par injection directe dans le réseau, ou par conversion en méthane de synthèse en l’associant à du CO2, via une étape de méthanisation.
  • Plan de Protection de l’Atmosphère
  • La programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) exprime les orientations en matière de politique énergétique.
  • Plateformes Territoriales de la Rénovation Énergétique
  • Procédé thermochimique à haute température permettant d’obtenir un gaz de synthèse (syngaz) à partir de matières premières renouvelables. Le syngaz obtenu est utilisé en vue de produire de l’électricité et/ou de la chaleur, ou des gaz renouvelables (méthane de synthèse ou hydrogène renouvelable) injectables dans les réseaux ou valorisables directement et localement en carburant.

R

  • Réseau des Agences Régionales de l’Énergie et de l’Environnement

S

  • Service d’Accompagnement pour la Rénovation Énergétique
  • Schéma de Cohérence Territorial
  • Stratégie française sur l’énergie et le climat
  • solutions fondées sur la nature
  • Stratégie Nationale Bas Carbone. C’est la feuille de route de la France pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Elle comprend un objectif de long terme, la neutralité carbone en 2050, et une trajectoire pour y parvenir.
  • Stratégie nationale de mobilisation de la biomasse
  • Schéma Régional d’Aménagement de Développement Durable et d’Égalité des Territoires
  • schéma régional climat air énergie

T

  • Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte

U

  • Unité départementale
  • Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine

Z

  • Zone à faibles émissions mobilité, est un outil à destination des collectivités pour réduire la pollution atmosphérique en limitant la circulation des véhicules les plus polluants.